βια _When snow hides misery

Snow is falling, wind whirl the flakes; white covers the landscape, wiping out any sign of ugliness of the world. It is convenient to the ones who dont want to see.
Life, so light, hold only by a breath.

The word « violence » comes from latin « violencia » and « violentus », fomr the verb « vis » (verb « volere ») meaning « to want », coming from greek « bia » (« βια ») =strength.

The project makes a parallel between the strength of nature and the relationship between 2 people. the deceitful energy of the human, combined with material isolation, make escaping impossible.

The series invokes the notions of identity and otherness in an intimate connection; It invites the visitor to become a voyeur: he enters the universe of an ordinary couple, through stops on narrative images, mixed with more enigmatic photos. These sequences of images create an atmosphere of unrest, of uncertainty. Confrontation between outdoor spaces and domestic territories accentuates the feeling of intimate loneliness. Anger and paranoia weaken the ties that forge a relationship and lead to the point of no return. Moral torture, mockery, demeaning, violence lead to destruction.
The couple’s anonymity is voluntary. Without their own identity, the situations presented become one to which we can all relate, nourished by a very real context.

 

 

 

 

 

 

Bia_Quand la neige est cache misère

 

 

 

 

 

Série fine art photographie de 33 photos

Bia_Quand la neige est cache misère_ #1 à #33

Impressions sur papier fine art 100% coton encre pigmentaire

Contrecollées sur dibond, avec châssis affleurant

Limitées à 7 exemplaires tous formats confondus (+ 3 épreuves d’auteur ), numérotées, signées au dos

 

 

 

 

 

 

βια _Quand la neige est cache misère_

La neige tombe, le vent agite les flocons; le blanc recouvre le paysage, effaçant ainsi toutes traces de la mocheté du monde. C’est bien commode à celui qui ne veut pas voir.

La vie si légère ne tient alors qu’à un souffle.

Le mot « violence » nous vient du latin « violencia » et du latin de « violentus », issu du verbe « vis » (verbe « volere ») signifiant « vouloir », découlant du mot grec « bia » (« βια ») signifiant « la force vitale » ou « la force », « la contrainte ».

Le projet construit un parallèle entre la force des éléments naturels et le rapport de force entre deux personnes. L’énergie perfide de l’humain, associée à l’isolation matérielle, efface toute échappatoire.

La série appelle les notions d’identité et d’altérité dans une liaison intime. Elle invite le visiteur a devenir voyeur : il entre dans l’univers d’un couple ordinaire, à travers des arrêts sur images narratifs, mêlés à des photos plus énigmatiques. Ces séquences d’images créent une atmosphere de troubles, d’incertitude. Confrontation entre espaces extérieurs et territoires domestiques accentue le sentiment d’intime solitude. Colère et paranoia fragilisent les liens qui tissent une relation et mènent jusqu’au point de non retour. Torture morale, moqueries, rabaissement, violence entraînent à la destruction. L’anonymat du couple se veut volontaire. Sans identité propre, les tableaux présentés deviennent des situations auxquelles nous pouvons tous nous rapporter, nourris par un contexte bien réel.